Dans la nuit noire et parmi les hululements
Sur le bitume du cimetière mes pas résonnent,
Quand soudain retenti un strident hurlement
Sous la pluie battante j’ai peur et je frissonne.
De mon regard désespéré bien que dément
Je perce la nuit noire mais n’aperçois personne,
Terrassé par la peur qui m’étreint et tremblant
Je tâtonne sous le tonnerre qui tonne.
Puis je m’arête et me résonne
Car je le comprends et j’en meurs
Que les battements de mon cœur
Et le tonnerre qui sans cesse tonne
Sont en fait la fuite du temps
Et le glas de la mort qui sonne.
Sur le bitume du cimetière mes pas résonnent,
Quand soudain retenti un strident hurlement
Sous la pluie battante j’ai peur et je frissonne.
De mon regard désespéré bien que dément
Je perce la nuit noire mais n’aperçois personne,
Terrassé par la peur qui m’étreint et tremblant
Je tâtonne sous le tonnerre qui tonne.
Puis je m’arête et me résonne
Car je le comprends et j’en meurs
Que les battements de mon cœur
Et le tonnerre qui sans cesse tonne
Sont en fait la fuite du temps
Et le glas de la mort qui sonne.
Wah !! g jms écri un truc ossi lugubre !! ca mchange de dabitude !! ca mfé limite peur de savoir qe jpeu ecrire d trucs ossi deprimants !! Eh!! un truc : au 3° vers avant la fin c "sans cesse tonne" et non "cent-seize tonnes" !!!
En tt cas jespere qe ta vu simon qe c super moche le mot bitume en poesie !!
En tt cas jespere qe ta vu simon qe c super moche le mot bitume en poesie !!